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Liste des finalistes !

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... et elle sera bien fournie le 07 novembre

Moustache de fête ! Enfin ! Après plus de trois heures d’ingestion de terrine et de pâté de tête, le jury a lampé sa bière -riant fort, grandes claques dans le dos, pisse sur les femmes infidèles- puis a rendu sa liste de finalistes, pour les prix Virilo et Trop Virilo.

Comme nous achetons tous nos livres, certaines maisons d’éditions peuvent déjà s’enorgueillir de dix ventes de plus. Evidemment, cela ne couvre que partiellement les "enveloppes RP" qu’elles nous ont envoyés. Nous présentons d’ailleurs nos excuses auprès du Castor Astral, son panier garni a été apprécié mais il est certains livres que l’on ne peut pas dignement inscrire en finale. Et pour l’année prochaine, sachez que nous préférons l’argent à la tapenade.

A part ça, des listes de co-lecture se forment histoire de ne pas acheter en huit exemplaires le livre de VGE : il n’est pas facile à refourguer à Noël, celui-là.

FINALISTES   PRIX   VIRILO  2011 :

Rappel : Le Prix Virilo récompense le meilleur roman francophone de l’année 2011. Outre sa bonne tenue stylistique, le roman devra conquérir le jury et lui faire, page après page, dresser les poils de moustache d’un plaisir littéraire incommensurable.

Ce que j’appelle oubli, de Laurent Mauvignier (Éditions de Minuit)

Dino Egger, d’Éric Chevillard (Éditions de Minuit)

Du domaine des murmures, de Carole Martinez (Gallimard)

L’art français de la guerre, d’Alexis Jenni (Gallimard)

- Le Turquetto, de Metin Arditi (Actes Sud)

Limonov, d’Emmanuel Carrère (P.O.L.)

Nestor rend les armes, de Clara Dupond-Monod (Éditions Sabine-Wespieser)

Pièce rapportée, d’Hélène Lenoir (Éditions de Minuit)

Tous les trois, de Gaël Brunet (Éditions du Rouergue)

- Un certain mois d’avril à Adana, de Daniel Arsand (Flammarion)

_________________________________________________

FINALISTES PRIX TROP VIRILO 2011 : 

Rappel : le Prix Trop Virilo récompense la plus belle poussée de testostérone de la rentrée littéraire. C’est un ouvrage qui doit sentir l’homme, l’aigre vestiaire de fin de match.

La balance des blancs, de Jacques Henric (Seuil)

Ces Messieurs-dames de la famille, de J-P. Coffe (Plon)

Le système Victoria, d’Eric Reinhardt (Seuil)

Les découvertes, d’Éric Laurrent (Éditions de Minuit)

Mimi, de Sébastien Marnier (Fayard)

Mathilda, de Valéry Giscard d’Estaing (Xo)

L’homme qui frappait les femmes, d’Aymeric Patricot (Léo Scheer)

La Balance des blancs reçoit le label "Michel Blanc à moustache"



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